J’écris quelques mots ici pour me souvenir plus tard de l’enthousiasme et l’envie dévorante d’en lire plus après la lecture de La Place.
Cette allégresse de lire et de découvrir dans des propos d’une autre des mots qui résonnent avec sa propre expérience.
Je suis sortie de la bibliothèque avec le plus de livres d’elle que je pouvais emporter. Il en reste encore quelques uns en magasin, je n’avais pas le courage de remplir une fiche pour chaque œuvre. Je voulais aussi être raisonnable et prendre le temps de savourer.
C’est toujours grisant ce moment de rencontre avec une œuvre. Soudain un nouveau monde qui s’ouvre ; où il faut s’engouffrer.
J’ai enchaîné avec son premier livre, Les Armoires vides, terminé déjà.
Je ne sais pas lire lentement, faire durer le plaisir. J’accueille, en habituée, cette euphorie frénétique qui me pousse à lire sans répit jusqu’à avoir tout lu.
Je me fais une joie de passer décembre en compagnie des œuvres d’Annie Ernaux.
1 De la souris -
Ce plaisir à lire le tien ! <3
2 De Llu -
Oh c’est gentil ❤️
3 De Louise Daniel -
Je suis presque jalouse de votre goût de lecture. Merci pour cet enthousiasme!