A l’approche de Noël, c’est (presque) toujours pareil.
J’envie les familles (ré)unies et heureuses pour qui Noël est synonyme de retrouvailles, de rires francs et joyeux, de cadeaux qu’on offre sans contrainte et avec plaisir.
Je redoute l’instant où, perdues dans une famille qui n’est pas la notre, ma mère et moi seront obligées de porter un masque de convention et d’assister à un de ces repas où les (vieilles) rancœurs familiales ne sont jamais très loin.
Alors, je repense au Noël dernier en Croatie.
Mon meilleur Noël d’aussi loin que je me souvienne [1].
Il faisait beau, il a neigé, j’étais dans mon petit village perdu entre monts et mer, entourée de toute ma famille.
Ça, c’était un chouette cadeau.
Mes excuses pour mon humeur morose.
Note
[1] Malgré les partiels dès la première semaine de janvier.
1 De Laurence -
Allez va, c’est très convenu ce que je vais dire mais … on choisi ses amis et pas sa famille. Ce qui signifie que je ne suis pas sûre qu’il y ait beaucoup de familles dans lesquelles tout est idyllique. Bon, je sais, ce n’est pas ça qui nous console. Le malheur des autres n’a jamais fait mon bonheur !
2 De Llu -
Idem en ce qui concerne le malheur des autres.
Finalement, ça aurait pu être pire comme Noël :)
Et ça s’est pas si mal passé ;)